TRANSFERT QUANTITE de MOUVEMENT
COMETE >>> TERRE
an 2015
L'amélioration de l'analyse du phénomène permet de
décrire le déroulement de l'impact de la comète
sur la Terre avant l'événement, et les variations produites sur les mouvements du
noyau et de son enveloppe , ainsi que le changement de
la
trajectoire de la comète et simultanément de la Terre. pour arriver
à la configuration actuelle.
Les paramètres de l'orbite elliptique de la comète, qui
circulait sur un plan
incliné à 35°, ont fourni l'angle PHI,
entre le
vecteur vitesse et le rayon
soleil-comète, d'une valeur de 70,6 degrés, avec une
vitesse orbitale de 39,6 km/s.
Les composantes de la
vitesse de la comète valaient : vcz = -22,7 ;
vcx =-10,8 ; vcy=30,7 km/s , dans le
référentiel OX
selon le vecteur vitesse Terre vtx, qui était dirigé vers
la longitude 28° Ouest. L'axe OY
était dirigé
vers le
soleil.
L'impact s'est produit lorsque la Terre était à l'angle
320°
sur son orbite, avec une vitesse de 28,7 km/s en ayant
l'inclinaison de l'axe de rotation de 2 à 3 degrés.
L'analyse a été faite sur la
réalité
observable actuellement, qui résulte du transfert de la
quantité de mouvement
entre quatre corps : la comète vers le noyau puis vers
l'enveloppe de la Terre, la Lune , tous influencés par le champ
gravitationnel du soleil.
Le modèle de calcul :
Consiste en un choc inélastique
entre la comète et le noyau terrestre.
La formule connue,
utilisée avec un coefficient K de petite valeur, fournit les vitesses vnx ,
vny, vnz du noyau et les composantes v'cx,v'cy, v'cz de la comète
après le choc.
Avant l'impact la
vitesse de rotation de la Terre était un peu plus grande
qu'actuellement du fait du
ralentissement produit par l'influence de la Lune, depuis son
existence.
De même sa vitesse de revolution autour du soleil
était de 402
jours avec les paramètres pris dans ce modèle.
Le transfert de la quantité de mouvement s'est produit entre la
comète très dure et très froide, et le noyau terrestre moyennement dur et très chaud,
par un choc inélastique d'une longue durée, pris en
compte dans le calcul avec le coefficient K petit.
Le
résultat a été l'inversion de la vitesse
de la comète vcx qui devint positive, avec la
valeur v'cx.
Les influences
gravitationnelles réciproques à courtes distances
ont influencé la vitesse des différents
mouvements.
Les simulations sur
ordinateur ont apporté des
éléments de connaissances, présentées ici.
Description du phénomène
La comète pénètre la surface de la Terre au point
de longitude 65° Ouest et 35° latitude Nord, voisin des
îles des
Bermudes ; traverse l'enveloppe terrestre en 75 secondes ;
pénètre dans le noyau sur une profondeur de 2500
à 2900 km, ce
qui diminue fortement sa composante vcz ; continue en oblique selon vcy
en
produisant un cylindre d'un rayon de 1500 km, en poussant du magma du
noyau, de forte densité, devant elle jusqu'à la
surface de l'enveloppe, au point de longitude 70° Est, et de
latitude 5° Sud.
Ensuite elle sort de l'enveloppe, avec une
petite vitesse, qui diminue du fait
que le
magma liquide de l'enveloppe se colle sur sa paroi froide,
en couvrant le mascon, avec augmentation de sa masse.
Elle sort complétement de la Terre au point de longitude 42° Est,
latitude 5° Sud.
La durée de la sortie complète de la pseudoLune est 5778 secondes, parce que la Terre a
tourné de 26°
En s'enveloppant
du magma liquide de l'enveloppe, son diamètre augmente à 3500 km ,
du fait que le contact est
chaud contre froid .
Le transfert de quantité de mouvement de la comète au
noyau terrestre produit les composantes vitesses suivantes : vnx
= 27,4 ; vny =
2,5 ; vnz = -4,1 km/s , et transforme les composantes
vitesses finales de la pseudoLune aux valeurs : vLx = 28,1 ,
vLy = 0,1 , vLz = 2,4 km/s .
Pendant une période de 35500 secondes , l'enveloppe tourne
en
s'avançant à une vitesse vex en diminution, tandis que la
pseudoLune avance en
même temps avec une vitesse relative selon OX égale à + 0,18
km/s.
En même temps sa vitesse vez a égalé -0,15 km/s, ce qui la fait descendre dessous
son plan orbital, tandis que la pseudoLune se déplace en montant avec une
vitesse positive.
A ce moment la pseudoLune se trouve à la position 90° Ouest,
latitude 35° Sud.
Cette position correspond à l'inclinaison de l'enveloppe due au
transfert de quantité de mouvement du noyau qui s'est
incliné en entrainant l'inclinaison de l'enveloppe sous l'influence des effets gyroscopiques et des frottements.
Au cours du temps le moment d'inertie du noyau s'est
régularisé par le remplissage lent du tunnel.
Apres plusieurs années l'angle d'inclinaison de la Terre s'est stabilisé à l'angle actuel,
associé à son mouvement conique avec de multiple volutes.
La vitesse de la Terre vty l'a déplacée de 6500 km
vers le
soleil, provoquant la pénétration de la
pseudoLune dans
le magma d'une profondeur de 400 km environ, ce qui provoqua une haute vague qui souleva la
bord sud-ouest du
continent sud de l'Amérique en produisant la chaîne de montage des Andes, puis continua sa remontée en
oblique.
Pendant ce déplacement le transfert de la quantité de mouvement entre le
noyau et l'enveloppe augmente, en s'ajoutant à l'influence
du
soleil, ce qui fait modifier l'orbite du système
Terre+Lune.
En conséquence une accélération de la vitesse de
la Terre selon OX fait reculer la pseudoLune, tandis que sa vitesse relative OZ produisent
ensemble la montée de la pseudoLune.
Celle-ci tangente la
surface de la Terre selon la direction SO-NE, au point 80° Ouest et 20° Sud ,
ce qui pousse la côte Ouest en produisant les hauts
sommets de la chaîne de montagnes de la Cordillère des
Andes, provoquant la formation d'un creux qui deviendra le lac
Titicaca, situé prés des plus hauts sommets de la
chaîne de montagnes.
En continuant son déplacement, la trajectoire de la pseudoLune
passe audessus de l' Europe, ce qui
produit de nombreux incendies dans les forêts, qui deviendront
des mines de
charbon lorsque les bois brulés seront enfouis par les
glissements des masses de terre, poussées par la formation des
montagnes voisines.
Le calcul de la vitesse relative de montée
pour passer au dessus de l'Europe fournit 0,86
km/s .
A ce moment la Terre se rapproche du soleil pour changer
d'orbite, ce qui produit une augmentation de sa vitesse orbitale, la
pseudoLune passe derrière la Terre, tandis que le noyau se
déplace à l'intérieur de l'enveloppe sous
l'influence de la force gravitationnelle réciproque entre les
deux corps, et celle plus petite de la gravitation solaire, ainsi que
les forces hydrodynamiques de freinage, ajoutées aux accélérations gyroscopiques et des composantes de la
vitesse acquise lors de l'impact de la comète sur le noyau, et des influences des
accélérations centripètes et centrifuges qui sont
produites par la Terre et par le soleil.
Lors de son déplacement dans le noyau, la comète produit
un tunnel en poussant une masse importante de magma très
visqueux
de forte densité, qui reste collé à sa surface, et
possède une masse voisine de 10% de la masse de la
comète.
En dépassant l'axe du
noyau elle
produit un couple de rotation à celui-ci, dans le sens plus.
En même
temps les frottements dissymétriques dans le magma plus dense à l'intérieur,
produit un couple de rotation de la comète dans le sens plus.
Le centre de gravité de la comète passe à 2890 km
de l'axe du noyau, qui continue sa poussée, selon sa vitesse OX,
contre la
comète, en la soulevant du fait de sa position au dessus
du plan de son déplacement.
L'angle du plan de circulation de la
comète a diminué de trente degrés pour
être incliné à -5 degrés.
Le résultat de ce transfert de quantité de
mouvement est l'inversion des vitesses vcx et vcz, et la quasi
annulation de la vcy.
En conséquence le noyau
se déplace, en une période d'une dizaine de minutes, dans l'enveloppe en persant la surface de l'enveloppe
au point longitude 105° Ouest , latitude
32° Sud.
Le
diamètre de sortie du sommet du noyau est voisin de 5500 km, qui produit
une vague magmatique qui souleva la partie nord-ouest du
continent sud
américain, en produisant des chaines de montagnes
étroites, et en produisant le mouvement du continent , qui
tourna en glissant lentement
vers l' Est.
Ce petit phénomène s'est produit avant l'arrivée
de la pseudoLune, qui augmenta ce phénomène en cours
de réalisation.
La rotation du continent Amérique Sud
d'environ une dizaine de degrés s'est produite lentement par la
suite.
L'annulation lente de la vitesse du noyau par le force
gravitationnelle, fait
déplacer celui-ci vers le centre de l'enveloppe en
s'enfonçant petit à
petit pendant qu'elle tourne.
Le centre du noyau remonte
à la latitude 30° Nord, tandis que sa vitesse vnz
s'annule
puis change de sens en augmentant lentement sa vitesse de descente
vers le centre de l'enveloppe.
Lors de sa remontée vers le pôle Nord, le noyau a
frotté la côte Ouest du continent Nord américain, en réalisant son soulévement, qui
a
produit toutes les chaines de montagnes à l'ouest
de ce
continent, appellées Montagnes Rocheuses,
sur une distance de plusieurs centaines de kilomètres, puis
s'est
arrété en formant le Golfe d' Alaska.
Pendant ce mouvement la durée de rotation de la Terre a été de 40°
, pour une durée égale à 8900 secondes , pour un déplacement du centre du
noyau de 9600 km. Le calcul fournit une vitesse moyenne de remontée de 1,08 km/s .
Les vitesses des mouvements des corps diminuent sous
les influences des frottements internes, de l'augmentation lente de la
vitesse orbitale de la " nouvelle terre ", qui se déplace vers
sa nouvelle orbite en cours de réorganisation, et des transferts
réciproques des quantités de mouvement entre noyau
et enveloppe,
qui sont en diminution.
Dans l'hémisphère Nord le noyau
descend lentement vers le centre, en effectuant lentement l'
inclinaison de son axe, tandis que le diamètre de sa partie extérieure
diminue au fur et
à mesure qu'il soulève la côte Est du continent
asiatique pour passer
dessous la plaque au lieu actuel : longitude
130° Est , latitude 20° Nord, puis
disparaitre sous la plaque techtonique.
La
plaque techtonique asiatique est soulevée au cours de la
rotation
terrestre vers l'Est, puis elle glisse vers l'ouest, en produisant des
montagnes
orientées nord-sud, produites par le choc contre la chaîne de
montagne
himalayenne qui s'est formée quelques heures
avant.
De même la sortie lente de la pseudoLune a soulevé la
côte Est de l'Afrique, qui en redescendant a produit la fracture du
Rif, et l'île de Madagascar.
Le lent transfert de la quantité de mouvement existante a
déplacé tout le continent africain, mis en rotation vers le haut, qui
produisit la cassure et le déplacement de la plaque italienne
qui frappa la côte
européenne en produisant la chaîne de montagnes Alpes,
ainsi que la chaîne des Pyrénées et celle de
l'Atlas au nord-ouest de la plaque techtonique africaine par la continuation de sa rotation.
Tous ces déplacements de petites amplitudes de tous les
continents ont produit toutes les montagnes qui existent,
résultant des chocs qui ont réparti l'énergie
cinétique jusqu'à son annulation.
La
mer méditérranée s'est agrandie par les mouvements
de retour des continents vers leur position initiale, sans y revenir
exactement.
La plaque techtonique italienne ancrée au continent
européen, est restée accrochée lors de sa
mise en rotation inverse du
continent africain, ce qui agrandit la Mer
Méditerranée.
Les
Pyrénées et la chaîne de l'Atlas au nord
de l'Afrique ont été produites ensuite lors
des chocs
successifs entre plaques, jusqu'à l'annulation de la
quantité de mouvement restante qui s'est produite à la
formation de la chaîne de montagnes Oural, dirigées
Nord-Sud, par le pincement des plaques techtoniques venant de l'Ouest
et celle venant de l' Est . Ultérieurement elles
s'écartèrent légèrement.
Les vitesses diminuant lentement , l'arrêt des mouvements des
plaques s'arréta quelques mois ou années plus tard.
Pendant ce temps la pseudoLune passe au dessus de la Terre, qui descend
sous son plan orbital à la vitesse de - 0,14 km/s,
en augmentant son inclinaison de 3 ou 4
degrés, ce qui fournit la valeur actuelle de 7°, en
s'annulant sous l'influence du gradient gravitationnel local.
Plus tard, après le transfert de
la quantité de mouvement entre le noyau et
l'enveloppe, la satellisation de la Lune se produit , associée
à la
stabilisation du plan de l'orbite terrestre.
Au moment de sa sortie la vitesse relative de la Lune avec le noyau
était +1,5 km/s, puis apres le retour du noyau au centre de la
Terre et la réorganisation de son orbite autour du soleil qui augmenta sa vitesse orbitale, la
vitesse relative, selon ox, entre Terre et pseudoLune
est devenue -1,3 km/s.
La Terre se raprochant du soleil, la
pseudoLune se déplace dans le troisième quadrant du
référentiel oxyz en subissant les champs gravitationnels
locaux, celui de la Terre et celui du Soleil.
Satellisation de la LUNE
Selon la représentation mathématique de le configuration
:
le champ gravitationnel terrestre selon l'axe de rotation OZ est décroissant
symétriquement par rapport au centre de gravité.
Ce champ est dans le
champ gravitationnel solaire sphérique, centré à l'axe de rotation du soleil.
Ce champ est
décroissant symétriquement par rapport au plan
équatorial solaire.
La combinaison des influences de ces champs, produit un champ de
vitesse
circulaire dans un plan passant par les centres de la Lune, de la
Terre et du Soleil, situé dans le plan équatorial de la
Terre et centré sur elle.
En conséquence ces influences ont mis en rotation la
pseudoLune
autour de la Terre, qui s'est mise à tourner dans le sens plus,
du fait que la vitesse de la Terre a augmenté, obligeant la
pseudoLune à passer
derrière elle, en conservant sa vitesse relative initiale selon
OX, qui devint sa vitesse orbitale autour de la Terre.
En quelques jours la pseudoLune se satellisa pour devenir la LUNE, qui
circule actuellement sur une orbite elliptique autour de la Terre
à une vitesse variable, avec une vitesse moyenne d'environ 1,3
km/s, en circulant dans le sens plus.
Cette
vitesse diminue lentement sous l'influence du phénomène
des marées.
CONSEQUENCES :
Les résultats de ce transfert de quantité de
mouvement sont apparents, et observables maintenant.
Les observations de toutes les montagnes, très hautes,
à la surface de la Terre, sur Tous les continents,
résultent du travail d'une très grande énergie,
qui est venue du cosmos.
Ces constatations constituent une preuve concrète du phénomène
décrit ci-dessus.
De même l'inclinaison de l'axe de
rotation de la Terre de 23°, qui a plusieurs mouvements de
variations d'inclinaisons cycliques, résultent de la
répartition
d'une petite quantité de mouvement résiduel , dans
le noyau et l'enveloppe terrestre qui ont eu une variation de leur
moment d'inertie, associés à une attraction
gravitationnelle
entre les centres de gravité des deux corps, qui a
été incapable de les remettre dans la position initiale,
du fait des accélérations centripète et
centrifuge, et aussi du fait de leur rotation associé à
l'influence
gravitationnelle du soleil..
Pendant la période de répartition de l'énergie
cinétique dans la Terre, sa vitesse orbitale a diminué
puis augmenté par son rapprochement au soleil, provoquant une
période pendant laquelle
elle était 'flottante' dans le champ gravitationnel du soleil,
ce qui permétrait d'expliquer l'écart de 11 ° entre
l' axe de l'orbite et l'axe des points extrèmes.
Les particularités des mouvements de la Lune peuvent se
comprendre de part son moment cinétique et de la
répartition irrégulière des masses, due au mascon.
L'angle d'inclinaison du plan orbital de la Lune correspond à
l'angle de sortie.
Le corps cosmique venant de très loin, a été
capté par le soleil pour en faire une comète d'une
trajectoire unique pour venir en contact
avec la Terre.
Nécessairement au cours de la traversée du noyau, une
masse importante de magma
lourd est venue se coller sur sa surface.
Une estimation de la masse est de 10% de la
masse de la comète.
Une répartition de cette masse peut
être de 50 km de hauteur sur plusieurs centaines de km2 de
surface.
Les mesures de la répartition du champ
gravitationnel de surface de la Lune montrent les variations.
Une vérification précise de ces variations de
gravité , associée à des forages pour
atteindre le magma
de grande densité, situé sous la couche de magma de
faible densité, permettrait de déterminer les
caractéristiques géomètriques et physiques, qui
serviraient à mieux connaître la Lune.
Ces connaissances fourniraient une preuve supplémentaire du bien
fondé du phénomène décrit ci-dessus, ainsi que l'importance de
la libration de la Lune.
Ces connaissances constitueraient une preuve suplémentaire au phénomène de la formation
de la LUNE.
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DESCRIPTION du PHENOMENE FORMATION LUNE an 2011
Un corps cosmique, à la température de 3 degrés
Kelvin, d'un diamètre de 3000 km, d'une
densité voisine de 3, a pénétré dans la
couronne magmatique liquide de la Terre.
Ensuite il s'est enfoncé dans le magma
du noyau terrestre très visqueux, diamètre 6500 km, d'une
densité d'environ 12, en produisant un trou cylindrique droit, pour sortir
de l'autre côté de la Terre, en soulevant la plaque tectonique de l' Inde.
La
TRAJECTOIRE en ligne
droite est située au milieu du rayon terrestre.
Cet événement résulte des circonstances exceptionnelles que la trajectoire du corps cosmique
croisait celle de la Terre.
L'orbite du corps cosmique était une ellipse dans un plan
orbital perpendiculaire au plan de l'orbite terrestre, de caractéristiques a=1,73 milliards
de km, avec une excentricité e=0,9863.
Le choc s'est produit à la distance de 162 308 552 km du soleil, à la vitesse de 39,6 km/s.
Le corps cosmique parcourait son orbite dans le sens trigonométrique plus, condition pour
que l'angle entre le vecteur vitesse et le rayon CC/soleil fasse -21,6 degrés.
Cette valeur est mesurée sur la Terre, comme le montre l'image
TRAJECTOIRE-CC .
A cet
instant l'angle du rayon vecteur faisait 137,9 degrés.
A ce même instant la Terre, à la même distance du soleil, l'angle du rayon vecteur
faisait 130,9 degrés, en se déplaçant à 28,38 km/s.
Cette orbite AVANT l'événement a été choisie par l'auteur à la suite de simulations
numériques. Ses caractéristiques sont a= 160 millions de km, avec une excentricité de 0,03.
La phase 1 part de ces conditions initiales pour que le phénomène se déroule, pour obtenir
le résultat réel de la LUNE satellisée autour de la Terre.
La présente description des déplacements du Corps Cosmique et de la Terre est déduite
des résultats observables à la surface de la Terre.
La détermination des coordonnées des points
d'entrée et de sortie, a été effectuée par
rapport aux conséquences du transfert des quantités de
mouvement mécanique, produites sur les continents.
Leur détermination a été effectuée sur un
globe terrestre du commerce, représentant les continents
de la Terre, ainsi que la profondeur des océans.
L'
ENTREE-CC
se situe à l'Est de l'Amérique du nord, comme le prouve l'image visible en cliquant sur "entree".
La description du phénomène consiste au déplacement des entités existantes : Corps Cosmique,
enveloppe et noyau de la Terre.
Le corps cosmique, quasi sphérique, traverse le magma liquide de
l'enveloppe en transférant une petite quantité de
mouvement, puis il pénétre et traverse le magma solide,
à haute température et dense (12), en transférant
une grande quantité de mouvement, qui est transmise au noyau,
avant de sortir à l'Est du continent africain, comme le montre
l'image AFRIQUE .
EN MEME TEMPS le Corps Cosmique reçoit une quantité de mouvement de la part du noyau, selon
la direction de sa vitesse, qui pousse le Corps Cosmique devant lui, jusqu' à une vitesse de 27,8 km/s.
Cette configuration est visualisée par les images associées :
VUE de DESSUS
et la
CALOTTE de magma poussée lors du déplacement du noyau dans l'enveloppe.
Cette quantité de mouvement égale la masse du CC x par 27,8 .
En même temps le noyau acquiert une vitesse verticale de -0,7 km/s, et une vitesse vers le
soleil de 0,6 km/s, par le fait que le transfert s'est effectué principalement sur la deuxième
partie du trajet dans le noyau, lorsque la vitesse de déplacement dans le noyau était plus petite.
La durée de la traversée est d'environ 400 secondes.
Le résultat final de cette phase du phénomène, consiste aux valeurs des vitesses des 3 corps.
L'enveloppe a sa vitesse initiale, le noyau une vitesse centripète -0,6 , tangentielle 27,0
et une vitesse ascentionnelle de -0,4 km/s.
Le Corps Cosmique a une vitesse centripète de -7,7 , orbitale de 27,8 et verticale de -0,7 km/s.
La phase 2 correspond a la période suivante, de 900 secondes environ, durant laquelle le noyau
a reculé à l' INTERIEUR de l'enveloppe. L'influence du champ gavitationnel s'est développée,
produisant une augmentation de la vitesse du noyau, ASSOCIEE à une diminution de la vitesse
de l'enveloppe.
La simulation numérique montre que les deux corps se sont rejoints lorsque
leur vitesse commune était de 27,4 km/s , à une distance du point de départ de 784 km.
La conséquence de ce phénomène momentané, a
été la formation d'une calotte de près de 900 km
de hauteur, quasiment au centre de l'océan Pacifique actuel, au
point géographique 140° ouest, 6° sud. Ce
phénomène est visualisé par l'image
CALOTTE-magmatique
vue de l'arrière.
Lorsque que le Corps Cosmique n'est plus en
contact avec l'enveloppe magmatique liquide de la Terre, il est enveloppé de liquide
magmatique de la Terre, qui s'est collé sur toute sa surface froide,
du fait du champ gravitationnel du Corps Cosmique.
La couche de magma liquide avait une
épaisseur d'environ 250 km.
En conséquence la masse de la
Terre a diminué de plusieurs dizaines de milliards de tonnes et
la masse du Corps Cosmique a augmenté de la même
quantité. Ce nouveau corps, proche de la surface de la Terre,
sans la toucher, est appelé 'future LUNE'.
Durant la phase suivante 3, longue de quelques jours, la "future lune" a effectué un mouvement d'aller-retour
entre la Terre et le Soleil, sous l'influence du champ gravitationnel.
Le mouvement ascentionnel, selon l'axe des Z, combinant les deux mouvements perpendiculaires, a produit la
pénétration partielle de la "future lune" dans l'enveloppe, de telle manière que celle-ci
entre en contact au point de longitude 90° ouest et 50° sud, avec une vitesse montante, pour
produire la chaîne de montagne de la cordillère des Andes, avec sa sortie au point situé au sud-ouest
du lac Titicaca, 70° Ouest, 17° Sud.
Les différentes chaines de montagnes rocheuses à l'Ouest
du continent de l'Amérique du nord, ont été
produites lors des déplacements comparables, dans des cas de
vitesses plus petites, à des moments différents.
La description proposée consiste en la future lune, qui
pénétre la Terre au point 120° Ouest, 30° Sud,
monte en produisant
une vague qui a soulevé la plaque tectonique à l'Ouest de
l'Amérique du Nord, avec une petite vitesse, qui s'est
combinée à la vitesse de rotation de la Terre, produisant
une inclinaison vers l'Ouest de la chaine des Montagnes Rocheuses. Lors
de la sortie de la future Lune,l'annulation de sa vitesse selon OZ
produit la fabrication du Golfe de l'Alaska. Ensuite, sans sortir
complètement
de l'enveloppe, celle-ci a continué de tourner en produisant les
îles Aléoutiennes, jusqu'au Nord de la chaine des
Îles
japonaises. Ensuite la vitesse est devenue descendante, qui,
combinée à la rotation de la Terre, a soulevé
la/les plaques tectoniques de l'Est du continent de l'Asie, pour sortir
de l'enveloppe de la Terre à l'endroit du continent australien
actuel.
La simulation numérique montre que la "future lune" est venue plusieurs fois pénétrer, taper,
racler la surface de la Terre , en fonction des vitesses relatives,
parce qu'il y a un double mouvement oscillatoire (Terre-Lune) dans la direction
Terre-Soleil.
Phase 4 : SATELLISATION
La future lune n'est pas satellisée.
Le phénomène décrit ci-dessus a modifié l'angle de la vitesse orbitale par rapport au rayon vecteur
de l'orbite de la Terre AVANT.
La valeur de ce changement angulaire est de 1,2° d'angle, qui transforme la valeur de Phi en un
angle droit.
A ce moment là les caractéristiques de l'ellipse orbitale changent en a=150 millions de km,
associé à une excentricité de 0,083.
Ces valeurs ont été calculées par les formules connues de l'angle phi.
Ce phénomène produit un changement d'orbite pour la Terre.
Ce point est l'apogée de la nouvelle orbite terrestre.
A partir de ce point, la Terre va augmenter de vitesse en même temps que sa distance diminue avec le soleil.
La future lune va passer du coté gauche au coté droit, en passant derrière la Terre.
L'attraction gravitationnelle
va tirer la future
Lune en augmentant
sa vitesse, jusqu'au passage au périgée.
A partir de ce moment la vitesse de la Terre diminue, avec augmentation
croissante continue de sa distance au soleil, qui la fait reculer par
rapport à la future lune. Celle-ci passe devant la Terre du
coté droit vers le coté gauche.
La future lune a tourné autour de la Terre.
Après plusieurs dizaines de tours, la trajectoire de la future lune s'est régularisée, alors on peut
dire que la future lune est satellisée.
A cet instant la future lune est SATELLISEE. Alors elle s'appelle la
LUNE.Durant des dizaines de milliers d'années la LUNE tourne
autour de la Terre selon des orbites variables en excentricité
et en "longueur" de l'axe principal de l'ellipse.
Durant une longue période le mouvement oscillatoire entre la
Terre et la Lune selon l'axe OZ,
s'est stabilisé en produisant une inclinaison de 5°,2 du
plan orbital de la Lune, ASSOCIEE à l'inclinaison d'un angle de
3 à 4 degrés du plan orbital terrestre.
Pour obtenir la cohérence du phénomène TERRE-LUNE
actuel, une petite modification doit être apportée
à ce qui est décrit ici.
La description simplifiée précédente doit prendre
en compte les déformations " élastiques " du magma du
noyau qui a légérement
courbé la trajectoire du CC, produisant une vitesse relative de
la 'future lune', voisine de moins 1 km/s, avec une
mise en rotation de 360° en 27 jours terrestres. Il s'ajoute la
formation d'un mascon, qui correspond à un bloc de magma du
noyau,
qui s'est collé au Corps Cosmique froid.
A partir de la séparation de la future lune et de la Terre,
aucun changement de quantité de mouvement ne s'est produit.
En conséquence cette différence de vitesse relative est restée constante.
Au cours de sa satellisation autour de la Terre, une
accélération centrifuge en V2/r s'est produite,
diminuée de l'accélération
centripète de l'accélération gravitationnelle.
La combinaison des influences précédemment
décrites a produit un allongement du grand axe de l'orbite
lunaire, pour arriver en quelques milliers d'années, à la
position actuelle, qui satisfait la loi astronomique d'un satellite.
La preuve est fournie par la forme oblongue de la Lune, qui correspond
au refroidissement du magma liquide, emporté de la Terre.
Ce refroidissement a mis plusieurs centaines de milliers
d'années, permettant à l'influence gravitationnelle de la
Terre, d'attirer
le liquide vers elle.
Le refroidissement s'est produit par l'intérieur pour
réchauffer le noyau froid, et par la loi de Stephan qui
décrit la
déperdition calorifique vers l'extérieur, qui est
à la température moyenne d'un point de l'Univers,
modulée par les rayonnements de la Terre et du Soleil.
Un nouveau phénomène s'est produit: le refroidissement de
l'enveloppe a durci le magma tandis que le noyau (ex-CC) s'est
réchauffé,
qui a produit un éclatement de la croute magmatique froide. En
conséquence des failles se sont produites à la surface de
la Lune.
Le calcul fournit une augmentation du diamètre de la Lune de 40
km environ, qui tient compte du réchauffement et du
refroidissement
de la croûte.
CONSEQUENCES :
A la surface de la Terre AVANT l'événement,
l'énergie solaire reçue était moins importante que
maintenant.
La température moyenne de l'atmosphère était
voisine de 10° C, pour une variation de 0° à + 20°.
Le processus de photosynthèse avait une vitesse plus lente. En
conséquence les êtres vivants dynamiques avaient
des mouvements lents, avec un volume d'une tendance sphèrique
pour diminuer la déperdition calorifique.
Sur la Terre APRES la température moyenne est de 20° C ,
avec une variation entre -20° et + 60° C. La vitesse du
phénomène de photosynthèse est plus grande,
permettant une potentialisation plus grande et plus vite de
l'énergie
solaire.
En conséquence la puissance spécifique des êtres vivants dynamiques a augmenté.
La vitesse de l'évolution a augmenté, pour permettre
à quelques espèces de produire du "sang chaud" à
l'intérieur
de leur corps, que les connaissances actuelles
généralisent en SYSTEME AUTONOME qui se donne des BUTS.
La conséquence est l'agmentation de l'autonomie, des
capacités de déplacement, et leur capacité
à s'adapter
à des conditions météorologiques et climatiques,
impossible à réaliser avant ce 'gap' dans
l'évolution humaine.
Après plusieurs millions d'années, l'évolution des êtres vivants à la surface de
la Terre, a abouti à l'
HOMME, selon le processus universel, qui est cybernétique